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Sur tes traces au Kinneksbond, Centre culturel Mamer (Luxembourg, 3 représentations)
https://www.kinneksbond.lu/fr/event/sur-tes-traces
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Je viendrai moins souvent, à la Maison de la culture de Pointe-aux-trembles, (Montréal)
Synopsis
En 2017, Camille a 22 ans et emménage à Montréal alors que sa grand-mère Pauline, âgée de 92, est placée en CHSLD. Chacune vit en parallèle un déracinement, une absence de repères.
Pendant près de 4 ans, au rythme de leurs retrouvailles quotidiennes les deux femmes apprivoisent ensemble les pertes cognitives de Pauline, l’effritement de ses souvenirs et l’inévitable deuil à venir. Poussée par une intuition, Camille enregistre ses conversations avec sa grand-mère lors de ses visites.
Après le poignant balado Quelqu’une d’immortelle, Camille Paré-Poirier adapte pour la scène ces échanges entre deux femmes si profondément unies, pierre d’assise de dialogues et de questionnements entre générations. La créatrice s’interroge sur la notion de soin et sur les réalités, parfois confrontantes, de la proche-aidance. Grâce à des enregistrements empreints d’affection et de complicité, les mots et la voix de Pauline continuent de vivre. Et un matériau documentaire devient étonnamment un outil de fiction.
Durée: 1h35
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Je viendrai moins souvent, au Quai 5160 de la Maison de la culture de Verdun, (Montréal)
Synopsis
En 2017, Camille a 22 ans et emménage à Montréal alors que sa grand-mère Pauline, âgée de 92, est placée en CHSLD. Chacune vit en parallèle un déracinement, une absence de repères.
Pendant près de 4 ans, au rythme de leurs retrouvailles quotidiennes les deux femmes apprivoisent ensemble les pertes cognitives de Pauline, l’effritement de ses souvenirs et l’inévitable deuil à venir. Poussée par une intuition, Camille enregistre ses conversations avec sa grand-mère lors de ses visites.
Après le poignant balado Quelqu’une d’immortelle, Camille Paré-Poirier adapte pour la scène ces échanges entre deux femmes si profondément unies, pierre d’assise de dialogues et de questionnements entre générations. La créatrice s’interroge sur la notion de soin et sur les réalités, parfois confrontantes, de la proche-aidance. Grâce à des enregistrements empreints d’affection et de complicité, les mots et la voix de Pauline continuent de vivre. Et un matériau documentaire devient étonnamment un outil de fiction.
Durée: 1h35
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Je viendrai moins souvent, à la Maison de la culture St-Léonard (Montréal)
Synopsis
En 2017, Camille a 22 ans et emménage à Montréal alors que sa grand-mère Pauline, âgée de 92, est placée en CHSLD. Chacune vit en parallèle un déracinement, une absence de repères.
Pendant près de 4 ans, au rythme de leurs retrouvailles quotidiennes les deux femmes apprivoisent ensemble les pertes cognitives de Pauline, l’effritement de ses souvenirs et l’inévitable deuil à venir. Poussée par une intuition, Camille enregistre ses conversations avec sa grand-mère lors de ses visites.
Après le poignant balado Quelqu’une d’immortelle, Camille Paré-Poirier adapte pour la scène ces échanges entre deux femmes si profondément unies, pierre d’assise de dialogues et de questionnements entre générations. La créatrice s’interroge sur la notion de soin et sur les réalités, parfois confrontantes, de la proche-aidance. Grâce à des enregistrements empreints d’affection et de complicité, les mots et la voix de Pauline continuent de vivre. Et un matériau documentaire devient étonnamment un outil de fiction.
Durée: 1h35
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Je viendrai moins souvent, au Théâtre Alphonse-Desjardins (Repentigny)
Synopsis
En 2017, Camille a 22 ans et emménage à Montréal alors que sa grand-mère Pauline, âgée de 92, est placée en CHSLD. Chacune vit en parallèle un déracinement, une absence de repères.
Pendant près de 4 ans, au rythme de leurs retrouvailles quotidiennes les deux femmes apprivoisent ensemble les pertes cognitives de Pauline, l’effritement de ses souvenirs et l’inévitable deuil à venir. Poussée par une intuition, Camille enregistre ses conversations avec sa grand-mère lors de ses visites.
Après le poignant balado Quelqu’une d’immortelle, Camille Paré-Poirier adapte pour la scène ces échanges entre deux femmes si profondément unies, pierre d’assise de dialogues et de questionnements entre générations. La créatrice s’interroge sur la notion de soin et sur les réalités, parfois confrontantes, de la proche-aidance. Grâce à des enregistrements empreints d’affection et de complicité, les mots et la voix de Pauline continuent de vivre. Et un matériau documentaire devient étonnamment un outil de fiction.
Durée: 1h35
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Je viendrai moins souvent, à l'Agora des arts, (Rouyn-Noranda)
Synopsis
En 2017, Camille a 22 ans et emménage à Montréal alors que sa grand-mère Pauline, âgée de 92, est placée en CHSLD. Chacune vit en parallèle un déracinement, une absence de repères.
Pendant près de 4 ans, au rythme de leurs retrouvailles quotidiennes les deux femmes apprivoisent ensemble les pertes cognitives de Pauline, l’effritement de ses souvenirs et l’inévitable deuil à venir. Poussée par une intuition, Camille enregistre ses conversations avec sa grand-mère lors de ses visites.
Après le poignant balado Quelqu’une d’immortelle, Camille Paré-Poirier adapte pour la scène ces échanges entre deux femmes si profondément unies, pierre d’assise de dialogues et de questionnements entre générations. La créatrice s’interroge sur la notion de soin et sur les réalités, parfois confrontantes, de la proche-aidance. Grâce à des enregistrements empreints d’affection et de complicité, les mots et la voix de Pauline continuent de vivre. Et un matériau documentaire devient étonnamment un outil de fiction.
Durée: 1h35
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Je viendrai moins souvent, Théâtre de la Ville (Longueuil)
Synopsis
En 2017, Camille a 22 ans et emménage à Montréal alors que sa grand-mère Pauline, âgée de 92, est placée en CHSLD. Chacune vit en parallèle un déracinement, une absence de repères.
Pendant près de 4 ans, au rythme de leurs retrouvailles quotidiennes les deux femmes apprivoisent ensemble les pertes cognitives de Pauline, l’effritement de ses souvenirs et l’inévitable deuil à venir. Poussée par une intuition, Camille enregistre ses conversations avec sa grand-mère lors de ses visites.
Après le poignant balado Quelqu’une d’immortelle, Camille Paré-Poirier adapte pour la scène ces échanges entre deux femmes si profondément unies, pierre d’assise de dialogues et de questionnements entre générations. La créatrice s’interroge sur la notion de soin et sur les réalités, parfois confrontantes, de la proche-aidance. Grâce à des enregistrements empreints d’affection et de complicité, les mots et la voix de Pauline continuent de vivre. Et un matériau documentaire devient étonnamment un outil de fiction.
Durée: 1h35
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Je viendrai moins souvent, Pôle culturel de Chambly (Chambly)
Synopsis
En 2017, Camille a 22 ans et emménage à Montréal alors que sa grand-mère Pauline, âgée de 92, est placée en CHSLD. Chacune vit en parallèle un déracinement, une absence de repères.
Pendant près de 4 ans, au rythme de leurs retrouvailles quotidiennes les deux femmes apprivoisent ensemble les pertes cognitives de Pauline, l’effritement de ses souvenirs et l’inévitable deuil à venir. Poussée par une intuition, Camille enregistre ses conversations avec sa grand-mère lors de ses visites.
Après le poignant balado Quelqu’une d’immortelle, Camille Paré-Poirier adapte pour la scène ces échanges entre deux femmes si profondément unies, pierre d’assise de dialogues et de questionnements entre générations. La créatrice s’interroge sur la notion de soin et sur les réalités, parfois confrontantes, de la proche-aidance. Grâce à des enregistrements empreints d’affection et de complicité, les mots et la voix de Pauline continuent de vivre. Et un matériau documentaire devient étonnamment un outil de fiction.
Durée: 1h35

Je viendrai moins souvent, à la Maison de la culture Mercier, (Montréal)
Synopsis
En 2017, Camille a 22 ans et emménage à Montréal alors que sa grand-mère Pauline, âgée de 92, est placée en CHSLD. Chacune vit en parallèle un déracinement, une absence de repères.
Pendant près de 4 ans, au rythme de leurs retrouvailles quotidiennes les deux femmes apprivoisent ensemble les pertes cognitives de Pauline, l’effritement de ses souvenirs et l’inévitable deuil à venir. Poussée par une intuition, Camille enregistre ses conversations avec sa grand-mère lors de ses visites.
Après le poignant balado Quelqu’une d’immortelle, Camille Paré-Poirier adapte pour la scène ces échanges entre deux femmes si profondément unies, pierre d’assise de dialogues et de questionnements entre générations. La créatrice s’interroge sur la notion de soin et sur les réalités, parfois confrontantes, de la proche-aidance. Grâce à des enregistrements empreints d’affection et de complicité, les mots et la voix de Pauline continuent de vivre. Et un matériau documentaire devient étonnamment un outil de fiction.
Durée: 1h35

Je viendrai moins souvent, à la Maison de la culture Claude-Léveillé, (Montréal)
Synopsis
En 2017, Camille a 22 ans et emménage à Montréal alors que sa grand-mère Pauline, âgée de 92, est placée en CHSLD. Chacune vit en parallèle un déracinement, une absence de repères.
Pendant près de 4 ans, au rythme de leurs retrouvailles quotidiennes les deux femmes apprivoisent ensemble les pertes cognitives de Pauline, l’effritement de ses souvenirs et l’inévitable deuil à venir. Poussée par une intuition, Camille enregistre ses conversations avec sa grand-mère lors de ses visites.
Après le poignant balado Quelqu’une d’immortelle, Camille Paré-Poirier adapte pour la scène ces échanges entre deux femmes si profondément unies, pierre d’assise de dialogues et de questionnements entre générations. La créatrice s’interroge sur la notion de soin et sur les réalités, parfois confrontantes, de la proche-aidance. Grâce à des enregistrements empreints d’affection et de complicité, les mots et la voix de Pauline continuent de vivre. Et un matériau documentaire devient étonnamment un outil de fiction.
Durée: 1h35
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Je t'écris au milieu d'un bel orage à Sherbrooke
Amour extrême
Le 6 juin 1944, les forces alliées débarquent en Normandie et Maria Casarès dans la vie d’Albert Camus. La comédienne en est encore à ses débuts, arrivée d’Espagne huit ans plus tôt avec ses parents fuyant la dictature. Camus, marié et père de deux enfants, impliqué dans la Résistance, est déjà au cœur des lettres françaises, avec la publication deux ans plus tôt de L’étranger et du Mythe de Sisyphe. Il vient d’engager Maria pour créer le rôle de Martha dans Le malentendu. Mais dans leur relation, c’est elle qui, avec son exigence d’une vie indépendante, mène la danse. Leur passion durera quinze ans, traversant les tumultes politiques de l’après-guerre, la frénésie intellectuelle des années chaudes de Saint-Germain-des-Prés, leurs angoisses créatrices et les aléas du quotidien. Puis, le 4 janvier 1960, Camus meurt dans un accident de voiture. Ne reste que la stupeur de la mort. Et 865 lettres d’amour. ● Ces lettres, Dany Boudreault, poète ardent et dramaturge audacieux, s’en est emparé, prenant une phrase ici, un paragraphe là, pour recréer la fulgurance et la hauteur de vue de cet amour d’exception où, par « un certain degré de chaleur mutuelle, les cœurs fondent ensemble dans quelque chose qui n’a plus de nom ». À la mise en scène, l’attentif et novateur Maxime Carbonneau, complice de longue date de Dany Boudreault, fait son entrée au TNM. ● La magnifique Anne Dorval interprète l’électrisante complexité de Maria Casarès alors que l’admirable auteur et comédien Steve Gagnon porte la parole d’Albert Camus.
— Le spectacle-lecture a été créé au Festival international de la littérature (FIL) à Montréal en 2021 sous le regard juste et critique de Macha Limonchik —
Équipe de conception
D'après Correspondance (1944-1959) par Albert Camus et Maria Casarès © Editions Gallimard
Idéation et adaptation de Dany Boudreault
Mise en scène Maxime Carbonneau
Production Théâtre du Nouveau Monde
en collaboration avec La Messe Basse
assistance à la mise en scène Stéphanie Capistran-Lalonde
décor Max-Otto Fauteux, éclairages Julie Basse, costumes Marie Chantale Vaillancourt, musique originale Antoine Bédard, mouvement Marilyn Daoust, maquillages Justine Denoncourt-Bélanger

Je t'écris au milieu d'un bel orage à Québec
Amour extrême
Le 6 juin 1944, les forces alliées débarquent en Normandie et Maria Casarès dans la vie d’Albert Camus. La comédienne en est encore à ses débuts, arrivée d’Espagne huit ans plus tôt avec ses parents fuyant la dictature. Camus, marié et père de deux enfants, impliqué dans la Résistance, est déjà au cœur des lettres françaises, avec la publication deux ans plus tôt de L’étranger et du Mythe de Sisyphe. Il vient d’engager Maria pour créer le rôle de Martha dans Le malentendu. Mais dans leur relation, c’est elle qui, avec son exigence d’une vie indépendante, mène la danse. Leur passion durera quinze ans, traversant les tumultes politiques de l’après-guerre, la frénésie intellectuelle des années chaudes de Saint-Germain-des-Prés, leurs angoisses créatrices et les aléas du quotidien. Puis, le 4 janvier 1960, Camus meurt dans un accident de voiture. Ne reste que la stupeur de la mort. Et 865 lettres d’amour. ● Ces lettres, Dany Boudreault, poète ardent et dramaturge audacieux, s’en est emparé, prenant une phrase ici, un paragraphe là, pour recréer la fulgurance et la hauteur de vue de cet amour d’exception où, par « un certain degré de chaleur mutuelle, les cœurs fondent ensemble dans quelque chose qui n’a plus de nom ». À la mise en scène, l’attentif et novateur Maxime Carbonneau, complice de longue date de Dany Boudreault, fait son entrée au TNM. ● La magnifique Anne Dorval interprète l’électrisante complexité de Maria Casarès alors que l’admirable auteur et comédien Steve Gagnon porte la parole d’Albert Camus.
— Le spectacle-lecture a été créé au Festival international de la littérature (FIL) à Montréal en 2021 sous le regard juste et critique de Macha Limonchik —
Équipe de conception
D'après Correspondance (1944-1959) par Albert Camus et Maria Casarès © Editions Gallimard
Idéation et adaptation de Dany Boudreault
Mise en scène Maxime Carbonneau
Production Théâtre du Nouveau Monde
en collaboration avec La Messe Basse
assistance à la mise en scène Stéphanie Capistran-Lalonde
décor Max-Otto Fauteux, éclairages Julie Basse, costumes Marie Chantale Vaillancourt, musique originale Antoine Bédard, mouvement Marilyn Daoust, maquillages Justine Denoncourt-Bélanger
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Je viendrai moins souvent, Théâtre Desjardins à LaSalle, (Montréal)
Synopsis
En 2017, Camille a 22 ans et emménage à Montréal alors que sa grand-mère Pauline, âgée de 92, est placée en CHSLD. Chacune vit en parallèle un déracinement, une absence de repères.
Pendant près de 4 ans, au rythme de leurs retrouvailles quotidiennes les deux femmes apprivoisent ensemble les pertes cognitives de Pauline, l’effritement de ses souvenirs et l’inévitable deuil à venir. Poussée par une intuition, Camille enregistre ses conversations avec sa grand-mère lors de ses visites.
Après le poignant balado Quelqu’une d’immortelle, Camille Paré-Poirier adapte pour la scène ces échanges entre deux femmes si profondément unies, pierre d’assise de dialogues et de questionnements entre générations. La créatrice s’interroge sur la notion de soin et sur les réalités, parfois confrontantes, de la proche-aidance. Grâce à des enregistrements empreints d’affection et de complicité, les mots et la voix de Pauline continuent de vivre. Et un matériau documentaire devient étonnamment un outil de fiction.
Durée: 1h35

Je t'écris au milieu d'un bel orage à Rimouski
Amour extrême
Le 6 juin 1944, les forces alliées débarquent en Normandie et Maria Casarès dans la vie d’Albert Camus. La comédienne en est encore à ses débuts, arrivée d’Espagne huit ans plus tôt avec ses parents fuyant la dictature. Camus, marié et père de deux enfants, impliqué dans la Résistance, est déjà au cœur des lettres françaises, avec la publication deux ans plus tôt de L’étranger et du Mythe de Sisyphe. Il vient d’engager Maria pour créer le rôle de Martha dans Le malentendu. Mais dans leur relation, c’est elle qui, avec son exigence d’une vie indépendante, mène la danse. Leur passion durera quinze ans, traversant les tumultes politiques de l’après-guerre, la frénésie intellectuelle des années chaudes de Saint-Germain-des-Prés, leurs angoisses créatrices et les aléas du quotidien. Puis, le 4 janvier 1960, Camus meurt dans un accident de voiture. Ne reste que la stupeur de la mort. Et 865 lettres d’amour. ● Ces lettres, Dany Boudreault, poète ardent et dramaturge audacieux, s’en est emparé, prenant une phrase ici, un paragraphe là, pour recréer la fulgurance et la hauteur de vue de cet amour d’exception où, par « un certain degré de chaleur mutuelle, les cœurs fondent ensemble dans quelque chose qui n’a plus de nom ». À la mise en scène, l’attentif et novateur Maxime Carbonneau, complice de longue date de Dany Boudreault, fait son entrée au TNM. ● La magnifique Anne Dorval interprète l’électrisante complexité de Maria Casarès alors que l’admirable auteur et comédien Steve Gagnon porte la parole d’Albert Camus.
— Le spectacle-lecture a été créé au Festival international de la littérature (FIL) à Montréal en 2021 sous le regard juste et critique de Macha Limonchik —
Équipe de conception
D'après Correspondance (1944-1959) par Albert Camus et Maria Casarès © Editions Gallimard
Idéation et adaptation de Dany Boudreault
Mise en scène Maxime Carbonneau
Production Théâtre du Nouveau Monde
en collaboration avec La Messe Basse
assistance à la mise en scène Stéphanie Capistran-Lalonde
décor Max-Otto Fauteux, éclairages Julie Basse, costumes Marie Chantale Vaillancourt, musique originale Antoine Bédard, mouvement Marilyn Daoust, maquillages Justine Denoncourt-Bélanger

Je viendrai moins souvent, à la Maison de la culture Ahuntsic (Montréal)
Synopsis
En 2017, Camille a 22 ans et emménage à Montréal alors que sa grand-mère Pauline, âgée de 92, est placée en CHSLD. Chacune vit en parallèle un déracinement, une absence de repères.
Pendant près de 4 ans, au rythme de leurs retrouvailles quotidiennes les deux femmes apprivoisent ensemble les pertes cognitives de Pauline, l’effritement de ses souvenirs et l’inévitable deuil à venir. Poussée par une intuition, Camille enregistre ses conversations avec sa grand-mère lors de ses visites.
Après le poignant balado Quelqu’une d’immortelle, Camille Paré-Poirier adapte pour la scène ces échanges entre deux femmes si profondément unies, pierre d’assise de dialogues et de questionnements entre générations. La créatrice s’interroge sur la notion de soin et sur les réalités, parfois confrontantes, de la proche-aidance. Grâce à des enregistrements empreints d’affection et de complicité, les mots et la voix de Pauline continuent de vivre. Et un matériau documentaire devient étonnamment un outil de fiction.
Durée: 1h35

Je t'écris au milieu d'un bel orage à Terrebonne
Amour extrême
Le 6 juin 1944, les forces alliées débarquent en Normandie et Maria Casarès dans la vie d’Albert Camus. La comédienne en est encore à ses débuts, arrivée d’Espagne huit ans plus tôt avec ses parents fuyant la dictature. Camus, marié et père de deux enfants, impliqué dans la Résistance, est déjà au cœur des lettres françaises, avec la publication deux ans plus tôt de L’étranger et du Mythe de Sisyphe. Il vient d’engager Maria pour créer le rôle de Martha dans Le malentendu. Mais dans leur relation, c’est elle qui, avec son exigence d’une vie indépendante, mène la danse. Leur passion durera quinze ans, traversant les tumultes politiques de l’après-guerre, la frénésie intellectuelle des années chaudes de Saint-Germain-des-Prés, leurs angoisses créatrices et les aléas du quotidien. Puis, le 4 janvier 1960, Camus meurt dans un accident de voiture. Ne reste que la stupeur de la mort. Et 865 lettres d’amour. ● Ces lettres, Dany Boudreault, poète ardent et dramaturge audacieux, s’en est emparé, prenant une phrase ici, un paragraphe là, pour recréer la fulgurance et la hauteur de vue de cet amour d’exception où, par « un certain degré de chaleur mutuelle, les cœurs fondent ensemble dans quelque chose qui n’a plus de nom ». À la mise en scène, l’attentif et novateur Maxime Carbonneau, complice de longue date de Dany Boudreault, fait son entrée au TNM. ● La magnifique Anne Dorval interprète l’électrisante complexité de Maria Casarès alors que l’admirable auteur et comédien Steve Gagnon porte la parole d’Albert Camus.
— Le spectacle-lecture a été créé au Festival international de la littérature (FIL) à Montréal en 2021 sous le regard juste et critique de Macha Limonchik —
Équipe de conception
D'après Correspondance (1944-1959) par Albert Camus et Maria Casarès © Editions Gallimard
Idéation et adaptation de Dany Boudreault
Mise en scène Maxime Carbonneau
Production Théâtre du Nouveau Monde
en collaboration avec La Messe Basse
assistance à la mise en scène Stéphanie Capistran-Lalonde
décor Max-Otto Fauteux, éclairages Julie Basse, costumes Marie Chantale Vaillancourt, musique originale Antoine Bédard, mouvement Marilyn Daoust, maquillages Justine Denoncourt-Bélanger

Je t'écris au milieu d'un bel orage à Drummondville
Amour extrême
Le 6 juin 1944, les forces alliées débarquent en Normandie et Maria Casarès dans la vie d’Albert Camus. La comédienne en est encore à ses débuts, arrivée d’Espagne huit ans plus tôt avec ses parents fuyant la dictature. Camus, marié et père de deux enfants, impliqué dans la Résistance, est déjà au cœur des lettres françaises, avec la publication deux ans plus tôt de L’étranger et du Mythe de Sisyphe. Il vient d’engager Maria pour créer le rôle de Martha dans Le malentendu. Mais dans leur relation, c’est elle qui, avec son exigence d’une vie indépendante, mène la danse. Leur passion durera quinze ans, traversant les tumultes politiques de l’après-guerre, la frénésie intellectuelle des années chaudes de Saint-Germain-des-Prés, leurs angoisses créatrices et les aléas du quotidien. Puis, le 4 janvier 1960, Camus meurt dans un accident de voiture. Ne reste que la stupeur de la mort. Et 865 lettres d’amour. ● Ces lettres, Dany Boudreault, poète ardent et dramaturge audacieux, s’en est emparé, prenant une phrase ici, un paragraphe là, pour recréer la fulgurance et la hauteur de vue de cet amour d’exception où, par « un certain degré de chaleur mutuelle, les cœurs fondent ensemble dans quelque chose qui n’a plus de nom ». À la mise en scène, l’attentif et novateur Maxime Carbonneau, complice de longue date de Dany Boudreault, fait son entrée au TNM. ● La magnifique Anne Dorval interprète l’électrisante complexité de Maria Casarès alors que l’admirable auteur et comédien Steve Gagnon porte la parole d’Albert Camus.
— Le spectacle-lecture a été créé au Festival international de la littérature (FIL) à Montréal en 2021 sous le regard juste et critique de Macha Limonchik —
Équipe de conception
D'après Correspondance (1944-1959) par Albert Camus et Maria Casarès © Editions Gallimard
Idéation et adaptation de Dany Boudreault
Mise en scène Maxime Carbonneau
Production Théâtre du Nouveau Monde
en collaboration avec La Messe Basse
assistance à la mise en scène Stéphanie Capistran-Lalonde
décor Max-Otto Fauteux, éclairages Julie Basse, costumes Marie Chantale Vaillancourt, musique originale Antoine Bédard, mouvement Marilyn Daoust, maquillages Justine Denoncourt-Bélanger

Je t'écris au milieu d'un bel orage au TNM
Amour extrême
Le 6 juin 1944, les forces alliées débarquent en Normandie et Maria Casarès dans la vie d’Albert Camus. La comédienne en est encore à ses débuts, arrivée d’Espagne huit ans plus tôt avec ses parents fuyant la dictature. Camus, marié et père de deux enfants, impliqué dans la Résistance, est déjà au cœur des lettres françaises, avec la publication deux ans plus tôt de L’étranger et du Mythe de Sisyphe. Il vient d’engager Maria pour créer le rôle de Martha dans Le malentendu. Mais dans leur relation, c’est elle qui, avec son exigence d’une vie indépendante, mène la danse. Leur passion durera quinze ans, traversant les tumultes politiques de l’après-guerre, la frénésie intellectuelle des années chaudes de Saint-Germain-des-Prés, leurs angoisses créatrices et les aléas du quotidien. Puis, le 4 janvier 1960, Camus meurt dans un accident de voiture. Ne reste que la stupeur de la mort. Et 865 lettres d’amour. ● Ces lettres, Dany Boudreault, poète ardent et dramaturge audacieux, s’en est emparé, prenant une phrase ici, un paragraphe là, pour recréer la fulgurance et la hauteur de vue de cet amour d’exception où, par « un certain degré de chaleur mutuelle, les cœurs fondent ensemble dans quelque chose qui n’a plus de nom ». À la mise en scène, l’attentif et novateur Maxime Carbonneau, complice de longue date de Dany Boudreault, fait son entrée au TNM. ● La magnifique Anne Dorval interprète l’électrisante complexité de Maria Casarès alors que l’admirable auteur et comédien Steve Gagnon porte la parole d’Albert Camus.
— Le spectacle-lecture a été créé au Festival international de la littérature (FIL) à Montréal en 2021 sous le regard juste et critique de Macha Limonchik —
Équipe de conception
D'après Correspondance (1944-1959) par Albert Camus et Maria Casarès © Editions Gallimard
Idéation et adaptation de Dany Boudreault
Mise en scène Maxime Carbonneau
Production Théâtre du Nouveau Monde
en collaboration avec La Messe Basse
assistance à la mise en scène Stéphanie Capistran-Lalonde
décor Max-Otto Fauteux, éclairages Julie Basse, costumes Marie Chantale Vaillancourt, musique originale Antoine Bédard, mouvement Marilyn Daoust, maquillages Justine Denoncourt-Bélanger
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Je viendrai moins souvent, à la Maison de la culture Janine-Sutto, (Montréal)
Synopsis
En 2017, Camille a 22 ans et emménage à Montréal alors que sa grand-mère Pauline, âgée de 92, est placée en CHSLD. Chacune vit en parallèle un déracinement, une absence de repères.
Pendant près de 4 ans, au rythme de leurs retrouvailles quotidiennes les deux femmes apprivoisent ensemble les pertes cognitives de Pauline, l’effritement de ses souvenirs et l’inévitable deuil à venir. Poussée par une intuition, Camille enregistre ses conversations avec sa grand-mère lors de ses visites.
Après le poignant balado Quelqu’une d’immortelle, Camille Paré-Poirier adapte pour la scène ces échanges entre deux femmes si profondément unies, pierre d’assise de dialogues et de questionnements entre générations. La créatrice s’interroge sur la notion de soin et sur les réalités, parfois confrontantes, de la proche-aidance. Grâce à des enregistrements empreints d’affection et de complicité, les mots et la voix de Pauline continuent de vivre. Et un matériau documentaire devient étonnamment un outil de fiction.
Durée: 1h35
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Je viendrai moins souvent, à la Maison de la culture Rosemont (Montréal)
Synopsis
En 2017, Camille a 22 ans et emménage à Montréal alors que sa grand-mère Pauline, âgée de 92, est placée en CHSLD. Chacune vit en parallèle un déracinement, une absence de repères.
Pendant près de 4 ans, au rythme de leurs retrouvailles quotidiennes les deux femmes apprivoisent ensemble les pertes cognitives de Pauline, l’effritement de ses souvenirs et l’inévitable deuil à venir. Poussée par une intuition, Camille enregistre ses conversations avec sa grand-mère lors de ses visites.
Après le poignant balado Quelqu’une d’immortelle, Camille Paré-Poirier adapte pour la scène ces échanges entre deux femmes si profondément unies, pierre d’assise de dialogues et de questionnements entre générations. La créatrice s’interroge sur la notion de soin et sur les réalités, parfois confrontantes, de la proche-aidance. Grâce à des enregistrements empreints d’affection et de complicité, les mots et la voix de Pauline continuent de vivre. Et un matériau documentaire devient étonnamment un outil de fiction.
Durée: 1h35
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Sur tes traces au Théâtre Croix-Rousse (Lyon, 3 représentations)
https://www.croix-rousse.com/au-programme/sur-tes-traces/
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Je viendrai moins souvent au Périscope (Québec)
(5 représentations + 4 options)
Synopsis
En 2017, Camille a 22 ans et emménage à Montréal alors que sa grand-mère Pauline, âgée de 92, est placée en CHSLD. Chacune vit en parallèle un déracinement, une absence de repères.
Pendant près de 4 ans, au rythme de leurs retrouvailles quotidiennes les deux femmes apprivoisent ensemble les pertes cognitives de Pauline, l’effritement de ses souvenirs et l’inévitable deuil à venir. Poussée par une intuition, Camille enregistre ses conversations avec sa grand-mère lors de ses visites.
Après le poignant balado Quelqu’une d’immortelle, Camille Paré-Poirier adapte pour la scène ces échanges entre deux femmes si profondément unies, pierre d’assise de dialogues et de questionnements entre générations. La créatrice s’interroge sur la notion de soin et sur les réalités, parfois confrontantes, de la proche-aidance. Grâce à des enregistrements empreints d’affection et de complicité, les mots et la voix de Pauline continuent de vivre. Et un matériau documentaire devient étonnamment un outil de fiction.
Durée: 1h35
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Sur tes traces au Festival d'automne de Paris (Théâtre de la Bastille, 10 représentations)
https://www.festival-automne.com/fr/edition-2024/gurshad-shaheman-dany-boudreault-sur-tes-traces
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Sur tes traces au FTA (3 représentations)
https://fta.ca/evenement/sur-tes-traces/
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