Je t'écris au milieu d'un bel orage à Rimouski
nov.
20
8 h 00 p.m.20 h 00

Je t'écris au milieu d'un bel orage à Rimouski

Amour extrême

Le 6 juin 1944, les forces alliées débarquent en Normandie et Maria Casarès dans la vie d’Albert Camus. La comédienne en est encore à ses débuts, arrivée d’Espagne huit ans plus tôt avec ses parents fuyant la dictature. Camus, marié et père de deux enfants, impliqué dans la Résistance, est déjà au cœur des lettres françaises, avec la publication deux ans plus tôt de L’étranger et du Mythe de Sisyphe. Il vient d’engager Maria pour créer le rôle de Martha dans Le malentendu. Mais dans leur relation, c’est elle qui, avec son exigence d’une vie indépendante, mène la danse. Leur passion durera quinze ans, traversant les tumultes politiques de l’après-guerre, la frénésie intellectuelle des années chaudes de Saint-Germain-des-Prés, leurs angoisses créatrices et les aléas du quotidien. Puis, le 4 janvier 1960, Camus meurt dans un accident de voiture. Ne reste que la stupeur de la mort. Et 865 lettres d’amour. ● Ces lettres, Dany Boudreault, poète ardent et dramaturge audacieux, s’en est emparé, prenant une phrase ici, un paragraphe là, pour recréer la fulgurance et la hauteur de vue de cet amour d’exception où, par « un certain degré de chaleur mutuelle, les cœurs fondent ensemble dans quelque chose qui n’a plus de nom ». À la mise en scène, l’attentif et novateur Maxime Carbonneau, complice de longue date de Dany Boudreault, fait son entrée au TNM. ● La magnifique Anne Dorval interprète l’électrisante complexité de Maria Casarès alors que l’admirable auteur et comédien Steve Gagnon porte la parole d’Albert Camus.

— Le spectacle-lecture a été créé au Festival international de la littérature (FIL) à Montréal en 2021 sous le regard juste et critique de Macha Limonchik —

Équipe de conception

D'après Correspondance (1944-1959) par Albert Camus et Maria Casarès © Editions Gallimard

Idéation et adaptation de Dany Boudreault

Mise en scène Maxime Carbonneau

Production Théâtre du Nouveau Monde
en collaboration avec La Messe Basse

assistance à la mise en scène Stéphanie Capistran-Lalonde
décor Max-Otto Fauteux, éclairages Julie Basse, costumes Marie Chantale Vaillancourt, musique originale Antoine Bédard, mouvement Marilyn Daoust, maquillages Justine Denoncourt-Bélanger

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Je viendrai moins souvent, Théâtre Desjardins à LaSalle, (Montréal)
nov.
21
8 h 00 p.m.20 h 00

Je viendrai moins souvent, Théâtre Desjardins à LaSalle, (Montréal)

  • Théâtre Desjardins à LaSalle, (carte)
  • Google Agenda ICS

Synopsis

En 2017, Camille a 22 ans et emménage à Montréal alors que sa grand-mère Pauline, âgée de 92, est placée en CHSLD. Chacune vit en parallèle un déracinement, une absence de repères.

Pendant près de 4 ans, au rythme de leurs retrouvailles quotidiennes les deux femmes apprivoisent ensemble les pertes cognitives de Pauline, l’effritement de ses souvenirs et l’inévitable deuil à venir. Poussée par une intuition, Camille enregistre ses conversations avec sa grand-mère lors de ses visites.

Après le poignant balado Quelqu’une d’immortelle, Camille Paré-Poirier adapte pour la scène ces échanges entre deux femmes si profondément unies, pierre d’assise de dialogues et de questionnements entre générations. La créatrice s’interroge sur la notion de soin et sur les réalités, parfois confrontantes, de la proche-aidance. Grâce à des enregistrements empreints d’affection et de complicité, les mots et la voix de Pauline continuent de vivre. Et un matériau documentaire devient étonnamment un outil de fiction.

Durée: 1h35

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Je t'écris au milieu d'un bel orage à Québec
nov.
26
8 h 00 p.m.20 h 00

Je t'écris au milieu d'un bel orage à Québec

  • Salle Alber-Rousseau (carte)
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Amour extrême

Le 6 juin 1944, les forces alliées débarquent en Normandie et Maria Casarès dans la vie d’Albert Camus. La comédienne en est encore à ses débuts, arrivée d’Espagne huit ans plus tôt avec ses parents fuyant la dictature. Camus, marié et père de deux enfants, impliqué dans la Résistance, est déjà au cœur des lettres françaises, avec la publication deux ans plus tôt de L’étranger et du Mythe de Sisyphe. Il vient d’engager Maria pour créer le rôle de Martha dans Le malentendu. Mais dans leur relation, c’est elle qui, avec son exigence d’une vie indépendante, mène la danse. Leur passion durera quinze ans, traversant les tumultes politiques de l’après-guerre, la frénésie intellectuelle des années chaudes de Saint-Germain-des-Prés, leurs angoisses créatrices et les aléas du quotidien. Puis, le 4 janvier 1960, Camus meurt dans un accident de voiture. Ne reste que la stupeur de la mort. Et 865 lettres d’amour. ● Ces lettres, Dany Boudreault, poète ardent et dramaturge audacieux, s’en est emparé, prenant une phrase ici, un paragraphe là, pour recréer la fulgurance et la hauteur de vue de cet amour d’exception où, par « un certain degré de chaleur mutuelle, les cœurs fondent ensemble dans quelque chose qui n’a plus de nom ». À la mise en scène, l’attentif et novateur Maxime Carbonneau, complice de longue date de Dany Boudreault, fait son entrée au TNM. ● La magnifique Anne Dorval interprète l’électrisante complexité de Maria Casarès alors que l’admirable auteur et comédien Steve Gagnon porte la parole d’Albert Camus.

— Le spectacle-lecture a été créé au Festival international de la littérature (FIL) à Montréal en 2021 sous le regard juste et critique de Macha Limonchik —

Équipe de conception

D'après Correspondance (1944-1959) par Albert Camus et Maria Casarès © Editions Gallimard

Idéation et adaptation de Dany Boudreault

Mise en scène Maxime Carbonneau

Production Théâtre du Nouveau Monde
en collaboration avec La Messe Basse

assistance à la mise en scène Stéphanie Capistran-Lalonde
décor Max-Otto Fauteux, éclairages Julie Basse, costumes Marie Chantale Vaillancourt, musique originale Antoine Bédard, mouvement Marilyn Daoust, maquillages Justine Denoncourt-Bélanger

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Je t'écris au milieu d'un bel orage à Saguenay
nov.
30
8 h 00 p.m.20 h 00

Je t'écris au milieu d'un bel orage à Saguenay

Amour extrême

Le 6 juin 1944, les forces alliées débarquent en Normandie et Maria Casarès dans la vie d’Albert Camus. La comédienne en est encore à ses débuts, arrivée d’Espagne huit ans plus tôt avec ses parents fuyant la dictature. Camus, marié et père de deux enfants, impliqué dans la Résistance, est déjà au cœur des lettres françaises, avec la publication deux ans plus tôt de L’étranger et du Mythe de Sisyphe. Il vient d’engager Maria pour créer le rôle de Martha dans Le malentendu. Mais dans leur relation, c’est elle qui, avec son exigence d’une vie indépendante, mène la danse. Leur passion durera quinze ans, traversant les tumultes politiques de l’après-guerre, la frénésie intellectuelle des années chaudes de Saint-Germain-des-Prés, leurs angoisses créatrices et les aléas du quotidien. Puis, le 4 janvier 1960, Camus meurt dans un accident de voiture. Ne reste que la stupeur de la mort. Et 865 lettres d’amour. ● Ces lettres, Dany Boudreault, poète ardent et dramaturge audacieux, s’en est emparé, prenant une phrase ici, un paragraphe là, pour recréer la fulgurance et la hauteur de vue de cet amour d’exception où, par « un certain degré de chaleur mutuelle, les cœurs fondent ensemble dans quelque chose qui n’a plus de nom ». À la mise en scène, l’attentif et novateur Maxime Carbonneau, complice de longue date de Dany Boudreault, fait son entrée au TNM. ● La magnifique Anne Dorval interprète l’électrisante complexité de Maria Casarès alors que l’admirable auteur et comédien Steve Gagnon porte la parole d’Albert Camus.

— Le spectacle-lecture a été créé au Festival international de la littérature (FIL) à Montréal en 2021 sous le regard juste et critique de Macha Limonchik —

Équipe de conception

D'après Correspondance (1944-1959) par Albert Camus et Maria Casarès © Editions Gallimard

Idéation et adaptation de Dany Boudreault

Mise en scène Maxime Carbonneau

Production Théâtre du Nouveau Monde
en collaboration avec La Messe Basse

assistance à la mise en scène Stéphanie Capistran-Lalonde
décor Max-Otto Fauteux, éclairages Julie Basse, costumes Marie Chantale Vaillancourt, musique originale Antoine Bédard, mouvement Marilyn Daoust, maquillages Justine Denoncourt-Bélanger

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Je t'écris au milieu d'un bel orage à Sherbrooke
déc.
2
8 h 00 p.m.20 h 00

Je t'écris au milieu d'un bel orage à Sherbrooke

  • Centre culturel de l'université sherbrooke (carte)
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Amour extrême

Le 6 juin 1944, les forces alliées débarquent en Normandie et Maria Casarès dans la vie d’Albert Camus. La comédienne en est encore à ses débuts, arrivée d’Espagne huit ans plus tôt avec ses parents fuyant la dictature. Camus, marié et père de deux enfants, impliqué dans la Résistance, est déjà au cœur des lettres françaises, avec la publication deux ans plus tôt de L’étranger et du Mythe de Sisyphe. Il vient d’engager Maria pour créer le rôle de Martha dans Le malentendu. Mais dans leur relation, c’est elle qui, avec son exigence d’une vie indépendante, mène la danse. Leur passion durera quinze ans, traversant les tumultes politiques de l’après-guerre, la frénésie intellectuelle des années chaudes de Saint-Germain-des-Prés, leurs angoisses créatrices et les aléas du quotidien. Puis, le 4 janvier 1960, Camus meurt dans un accident de voiture. Ne reste que la stupeur de la mort. Et 865 lettres d’amour. ● Ces lettres, Dany Boudreault, poète ardent et dramaturge audacieux, s’en est emparé, prenant une phrase ici, un paragraphe là, pour recréer la fulgurance et la hauteur de vue de cet amour d’exception où, par « un certain degré de chaleur mutuelle, les cœurs fondent ensemble dans quelque chose qui n’a plus de nom ». À la mise en scène, l’attentif et novateur Maxime Carbonneau, complice de longue date de Dany Boudreault, fait son entrée au TNM. ● La magnifique Anne Dorval interprète l’électrisante complexité de Maria Casarès alors que l’admirable auteur et comédien Steve Gagnon porte la parole d’Albert Camus.

— Le spectacle-lecture a été créé au Festival international de la littérature (FIL) à Montréal en 2021 sous le regard juste et critique de Macha Limonchik —

Équipe de conception

D'après Correspondance (1944-1959) par Albert Camus et Maria Casarès © Editions Gallimard

Idéation et adaptation de Dany Boudreault

Mise en scène Maxime Carbonneau

Production Théâtre du Nouveau Monde
en collaboration avec La Messe Basse

assistance à la mise en scène Stéphanie Capistran-Lalonde
décor Max-Otto Fauteux, éclairages Julie Basse, costumes Marie Chantale Vaillancourt, musique originale Antoine Bédard, mouvement Marilyn Daoust, maquillages Justine Denoncourt-Bélanger

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Je viendrai moins souvent, à la Maison de la culture Claude-Léveillé, (Montréal)
janv.
29
8 h 00 p.m.20 h 00

Je viendrai moins souvent, à la Maison de la culture Claude-Léveillé, (Montréal)

  • Maison de la culture claude-léveillé (carte)
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Synopsis

En 2017, Camille a 22 ans et emménage à Montréal alors que sa grand-mère Pauline, âgée de 92, est placée en CHSLD. Chacune vit en parallèle un déracinement, une absence de repères.

Pendant près de 4 ans, au rythme de leurs retrouvailles quotidiennes les deux femmes apprivoisent ensemble les pertes cognitives de Pauline, l’effritement de ses souvenirs et l’inévitable deuil à venir. Poussée par une intuition, Camille enregistre ses conversations avec sa grand-mère lors de ses visites.

Après le poignant balado Quelqu’une d’immortelle, Camille Paré-Poirier adapte pour la scène ces échanges entre deux femmes si profondément unies, pierre d’assise de dialogues et de questionnements entre générations. La créatrice s’interroge sur la notion de soin et sur les réalités, parfois confrontantes, de la proche-aidance. Grâce à des enregistrements empreints d’affection et de complicité, les mots et la voix de Pauline continuent de vivre. Et un matériau documentaire devient étonnamment un outil de fiction.

Durée: 1h35

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Je viendrai moins souvent, à la Maison de la culture Mercier, (Montréal)
janv.
31
8 h 00 p.m.20 h 00

Je viendrai moins souvent, à la Maison de la culture Mercier, (Montréal)

  • Maison de la culture Mercier (carte)
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Synopsis

En 2017, Camille a 22 ans et emménage à Montréal alors que sa grand-mère Pauline, âgée de 92, est placée en CHSLD. Chacune vit en parallèle un déracinement, une absence de repères.

Pendant près de 4 ans, au rythme de leurs retrouvailles quotidiennes les deux femmes apprivoisent ensemble les pertes cognitives de Pauline, l’effritement de ses souvenirs et l’inévitable deuil à venir. Poussée par une intuition, Camille enregistre ses conversations avec sa grand-mère lors de ses visites.

Après le poignant balado Quelqu’une d’immortelle, Camille Paré-Poirier adapte pour la scène ces échanges entre deux femmes si profondément unies, pierre d’assise de dialogues et de questionnements entre générations. La créatrice s’interroge sur la notion de soin et sur les réalités, parfois confrontantes, de la proche-aidance. Grâce à des enregistrements empreints d’affection et de complicité, les mots et la voix de Pauline continuent de vivre. Et un matériau documentaire devient étonnamment un outil de fiction.

Durée: 1h35

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Je viendrai moins souvent, Pôle culturel de Chambly (Chambly)
févr.
1
8 h 00 p.m.20 h 00

Je viendrai moins souvent, Pôle culturel de Chambly (Chambly)

  • Pôle culturel de Chambly (carte)
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Synopsis

En 2017, Camille a 22 ans et emménage à Montréal alors que sa grand-mère Pauline, âgée de 92, est placée en CHSLD. Chacune vit en parallèle un déracinement, une absence de repères.

Pendant près de 4 ans, au rythme de leurs retrouvailles quotidiennes les deux femmes apprivoisent ensemble les pertes cognitives de Pauline, l’effritement de ses souvenirs et l’inévitable deuil à venir. Poussée par une intuition, Camille enregistre ses conversations avec sa grand-mère lors de ses visites.

Après le poignant balado Quelqu’une d’immortelle, Camille Paré-Poirier adapte pour la scène ces échanges entre deux femmes si profondément unies, pierre d’assise de dialogues et de questionnements entre générations. La créatrice s’interroge sur la notion de soin et sur les réalités, parfois confrontantes, de la proche-aidance. Grâce à des enregistrements empreints d’affection et de complicité, les mots et la voix de Pauline continuent de vivre. Et un matériau documentaire devient étonnamment un outil de fiction.

Durée: 1h35

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Je viendrai moins souvent, Théâtre de la Ville (Longueuil) (1 représentation + 1 option)
févr.
3
à 4 févr.

Je viendrai moins souvent, Théâtre de la Ville (Longueuil) (1 représentation + 1 option)

  • Théâtre de la Ville, Longueuil (carte)
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Synopsis

En 2017, Camille a 22 ans et emménage à Montréal alors que sa grand-mère Pauline, âgée de 92, est placée en CHSLD. Chacune vit en parallèle un déracinement, une absence de repères.

Pendant près de 4 ans, au rythme de leurs retrouvailles quotidiennes les deux femmes apprivoisent ensemble les pertes cognitives de Pauline, l’effritement de ses souvenirs et l’inévitable deuil à venir. Poussée par une intuition, Camille enregistre ses conversations avec sa grand-mère lors de ses visites.

Après le poignant balado Quelqu’une d’immortelle, Camille Paré-Poirier adapte pour la scène ces échanges entre deux femmes si profondément unies, pierre d’assise de dialogues et de questionnements entre générations. La créatrice s’interroge sur la notion de soin et sur les réalités, parfois confrontantes, de la proche-aidance. Grâce à des enregistrements empreints d’affection et de complicité, les mots et la voix de Pauline continuent de vivre. Et un matériau documentaire devient étonnamment un outil de fiction.

Durée: 1h35

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Je viendrai moins souvent, à l'Agora des arts, (Rouyn-Noranda)
févr.
7
8 h 00 p.m.20 h 00

Je viendrai moins souvent, à l'Agora des arts, (Rouyn-Noranda)

  • l'Agora des arts, Rouyn-Noranda (carte)
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Synopsis

En 2017, Camille a 22 ans et emménage à Montréal alors que sa grand-mère Pauline, âgée de 92, est placée en CHSLD. Chacune vit en parallèle un déracinement, une absence de repères.

Pendant près de 4 ans, au rythme de leurs retrouvailles quotidiennes les deux femmes apprivoisent ensemble les pertes cognitives de Pauline, l’effritement de ses souvenirs et l’inévitable deuil à venir. Poussée par une intuition, Camille enregistre ses conversations avec sa grand-mère lors de ses visites.

Après le poignant balado Quelqu’une d’immortelle, Camille Paré-Poirier adapte pour la scène ces échanges entre deux femmes si profondément unies, pierre d’assise de dialogues et de questionnements entre générations. La créatrice s’interroge sur la notion de soin et sur les réalités, parfois confrontantes, de la proche-aidance. Grâce à des enregistrements empreints d’affection et de complicité, les mots et la voix de Pauline continuent de vivre. Et un matériau documentaire devient étonnamment un outil de fiction.

Durée: 1h35

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Je viendrai moins souvent, au Théâtre Alphonse-Desjardins (Repentigny)
févr.
11
8 h 00 p.m.20 h 00

Je viendrai moins souvent, au Théâtre Alphonse-Desjardins (Repentigny)

  • Théâtre Alphonse-Desjardins (carte)
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Synopsis

En 2017, Camille a 22 ans et emménage à Montréal alors que sa grand-mère Pauline, âgée de 92, est placée en CHSLD. Chacune vit en parallèle un déracinement, une absence de repères.

Pendant près de 4 ans, au rythme de leurs retrouvailles quotidiennes les deux femmes apprivoisent ensemble les pertes cognitives de Pauline, l’effritement de ses souvenirs et l’inévitable deuil à venir. Poussée par une intuition, Camille enregistre ses conversations avec sa grand-mère lors de ses visites.

Après le poignant balado Quelqu’une d’immortelle, Camille Paré-Poirier adapte pour la scène ces échanges entre deux femmes si profondément unies, pierre d’assise de dialogues et de questionnements entre générations. La créatrice s’interroge sur la notion de soin et sur les réalités, parfois confrontantes, de la proche-aidance. Grâce à des enregistrements empreints d’affection et de complicité, les mots et la voix de Pauline continuent de vivre. Et un matériau documentaire devient étonnamment un outil de fiction.

Durée: 1h35

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Je viendrai moins souvent, à la Maison de la culture St-Léonard (Montréal)
févr.
13
8 h 00 p.m.20 h 00

Je viendrai moins souvent, à la Maison de la culture St-Léonard (Montréal)

  • Maison de la culture St-Léonard (carte)
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Synopsis

En 2017, Camille a 22 ans et emménage à Montréal alors que sa grand-mère Pauline, âgée de 92, est placée en CHSLD. Chacune vit en parallèle un déracinement, une absence de repères.

Pendant près de 4 ans, au rythme de leurs retrouvailles quotidiennes les deux femmes apprivoisent ensemble les pertes cognitives de Pauline, l’effritement de ses souvenirs et l’inévitable deuil à venir. Poussée par une intuition, Camille enregistre ses conversations avec sa grand-mère lors de ses visites.

Après le poignant balado Quelqu’une d’immortelle, Camille Paré-Poirier adapte pour la scène ces échanges entre deux femmes si profondément unies, pierre d’assise de dialogues et de questionnements entre générations. La créatrice s’interroge sur la notion de soin et sur les réalités, parfois confrontantes, de la proche-aidance. Grâce à des enregistrements empreints d’affection et de complicité, les mots et la voix de Pauline continuent de vivre. Et un matériau documentaire devient étonnamment un outil de fiction.

Durée: 1h35

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Je viendrai moins souvent, au Quai 5160 de la Maison de la culture de Verdun, (Montréal)
févr.
14
8 h 00 p.m.20 h 00

Je viendrai moins souvent, au Quai 5160 de la Maison de la culture de Verdun, (Montréal)

  • Quai 5160 de la Maison de la culture de Verdun (carte)
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Synopsis

En 2017, Camille a 22 ans et emménage à Montréal alors que sa grand-mère Pauline, âgée de 92, est placée en CHSLD. Chacune vit en parallèle un déracinement, une absence de repères.

Pendant près de 4 ans, au rythme de leurs retrouvailles quotidiennes les deux femmes apprivoisent ensemble les pertes cognitives de Pauline, l’effritement de ses souvenirs et l’inévitable deuil à venir. Poussée par une intuition, Camille enregistre ses conversations avec sa grand-mère lors de ses visites.

Après le poignant balado Quelqu’une d’immortelle, Camille Paré-Poirier adapte pour la scène ces échanges entre deux femmes si profondément unies, pierre d’assise de dialogues et de questionnements entre générations. La créatrice s’interroge sur la notion de soin et sur les réalités, parfois confrontantes, de la proche-aidance. Grâce à des enregistrements empreints d’affection et de complicité, les mots et la voix de Pauline continuent de vivre. Et un matériau documentaire devient étonnamment un outil de fiction.

Durée: 1h35

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Je viendrai moins souvent, à la Maison de la culture de Pointe-aux-trembles, (Montréal)
févr.
20
8 h 00 p.m.20 h 00

Je viendrai moins souvent, à la Maison de la culture de Pointe-aux-trembles, (Montréal)

  • à la Maison de la culture de Pointe-aux-trembles (carte)
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Synopsis

En 2017, Camille a 22 ans et emménage à Montréal alors que sa grand-mère Pauline, âgée de 92, est placée en CHSLD. Chacune vit en parallèle un déracinement, une absence de repères.

Pendant près de 4 ans, au rythme de leurs retrouvailles quotidiennes les deux femmes apprivoisent ensemble les pertes cognitives de Pauline, l’effritement de ses souvenirs et l’inévitable deuil à venir. Poussée par une intuition, Camille enregistre ses conversations avec sa grand-mère lors de ses visites.

Après le poignant balado Quelqu’une d’immortelle, Camille Paré-Poirier adapte pour la scène ces échanges entre deux femmes si profondément unies, pierre d’assise de dialogues et de questionnements entre générations. La créatrice s’interroge sur la notion de soin et sur les réalités, parfois confrontantes, de la proche-aidance. Grâce à des enregistrements empreints d’affection et de complicité, les mots et la voix de Pauline continuent de vivre. Et un matériau documentaire devient étonnamment un outil de fiction.

Durée: 1h35

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Je viendrai moins souvent, à la Maison de la culture Ahuntsic (Montréal)
nov.
19
8 h 00 p.m.20 h 00

Je viendrai moins souvent, à la Maison de la culture Ahuntsic (Montréal)

  • Maison de la culture ahuntsic (carte)
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Synopsis

En 2017, Camille a 22 ans et emménage à Montréal alors que sa grand-mère Pauline, âgée de 92, est placée en CHSLD. Chacune vit en parallèle un déracinement, une absence de repères.

Pendant près de 4 ans, au rythme de leurs retrouvailles quotidiennes les deux femmes apprivoisent ensemble les pertes cognitives de Pauline, l’effritement de ses souvenirs et l’inévitable deuil à venir. Poussée par une intuition, Camille enregistre ses conversations avec sa grand-mère lors de ses visites.

Après le poignant balado Quelqu’une d’immortelle, Camille Paré-Poirier adapte pour la scène ces échanges entre deux femmes si profondément unies, pierre d’assise de dialogues et de questionnements entre générations. La créatrice s’interroge sur la notion de soin et sur les réalités, parfois confrontantes, de la proche-aidance. Grâce à des enregistrements empreints d’affection et de complicité, les mots et la voix de Pauline continuent de vivre. Et un matériau documentaire devient étonnamment un outil de fiction.

Durée: 1h35

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Je t'écris au milieu d'un bel orage à Terrebonne
nov.
12
7 h 30 p.m.19 h 30

Je t'écris au milieu d'un bel orage à Terrebonne

  • Maison des arts de drummondville (carte)
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Amour extrême

Le 6 juin 1944, les forces alliées débarquent en Normandie et Maria Casarès dans la vie d’Albert Camus. La comédienne en est encore à ses débuts, arrivée d’Espagne huit ans plus tôt avec ses parents fuyant la dictature. Camus, marié et père de deux enfants, impliqué dans la Résistance, est déjà au cœur des lettres françaises, avec la publication deux ans plus tôt de L’étranger et du Mythe de Sisyphe. Il vient d’engager Maria pour créer le rôle de Martha dans Le malentendu. Mais dans leur relation, c’est elle qui, avec son exigence d’une vie indépendante, mène la danse. Leur passion durera quinze ans, traversant les tumultes politiques de l’après-guerre, la frénésie intellectuelle des années chaudes de Saint-Germain-des-Prés, leurs angoisses créatrices et les aléas du quotidien. Puis, le 4 janvier 1960, Camus meurt dans un accident de voiture. Ne reste que la stupeur de la mort. Et 865 lettres d’amour. ● Ces lettres, Dany Boudreault, poète ardent et dramaturge audacieux, s’en est emparé, prenant une phrase ici, un paragraphe là, pour recréer la fulgurance et la hauteur de vue de cet amour d’exception où, par « un certain degré de chaleur mutuelle, les cœurs fondent ensemble dans quelque chose qui n’a plus de nom ». À la mise en scène, l’attentif et novateur Maxime Carbonneau, complice de longue date de Dany Boudreault, fait son entrée au TNM. ● La magnifique Anne Dorval interprète l’électrisante complexité de Maria Casarès alors que l’admirable auteur et comédien Steve Gagnon porte la parole d’Albert Camus.

— Le spectacle-lecture a été créé au Festival international de la littérature (FIL) à Montréal en 2021 sous le regard juste et critique de Macha Limonchik —

Équipe de conception

D'après Correspondance (1944-1959) par Albert Camus et Maria Casarès © Editions Gallimard

Idéation et adaptation de Dany Boudreault

Mise en scène Maxime Carbonneau

Production Théâtre du Nouveau Monde
en collaboration avec La Messe Basse

assistance à la mise en scène Stéphanie Capistran-Lalonde
décor Max-Otto Fauteux, éclairages Julie Basse, costumes Marie Chantale Vaillancourt, musique originale Antoine Bédard, mouvement Marilyn Daoust, maquillages Justine Denoncourt-Bélanger

Voir l'événement →
Je t'écris au milieu d'un bel orage à Drummondville
nov.
6
7 h 30 p.m.19 h 30

Je t'écris au milieu d'un bel orage à Drummondville

  • Maison des arts de drummondville (carte)
  • Google Agenda ICS

Amour extrême

Le 6 juin 1944, les forces alliées débarquent en Normandie et Maria Casarès dans la vie d’Albert Camus. La comédienne en est encore à ses débuts, arrivée d’Espagne huit ans plus tôt avec ses parents fuyant la dictature. Camus, marié et père de deux enfants, impliqué dans la Résistance, est déjà au cœur des lettres françaises, avec la publication deux ans plus tôt de L’étranger et du Mythe de Sisyphe. Il vient d’engager Maria pour créer le rôle de Martha dans Le malentendu. Mais dans leur relation, c’est elle qui, avec son exigence d’une vie indépendante, mène la danse. Leur passion durera quinze ans, traversant les tumultes politiques de l’après-guerre, la frénésie intellectuelle des années chaudes de Saint-Germain-des-Prés, leurs angoisses créatrices et les aléas du quotidien. Puis, le 4 janvier 1960, Camus meurt dans un accident de voiture. Ne reste que la stupeur de la mort. Et 865 lettres d’amour. ● Ces lettres, Dany Boudreault, poète ardent et dramaturge audacieux, s’en est emparé, prenant une phrase ici, un paragraphe là, pour recréer la fulgurance et la hauteur de vue de cet amour d’exception où, par « un certain degré de chaleur mutuelle, les cœurs fondent ensemble dans quelque chose qui n’a plus de nom ». À la mise en scène, l’attentif et novateur Maxime Carbonneau, complice de longue date de Dany Boudreault, fait son entrée au TNM. ● La magnifique Anne Dorval interprète l’électrisante complexité de Maria Casarès alors que l’admirable auteur et comédien Steve Gagnon porte la parole d’Albert Camus.

— Le spectacle-lecture a été créé au Festival international de la littérature (FIL) à Montréal en 2021 sous le regard juste et critique de Macha Limonchik —

Équipe de conception

D'après Correspondance (1944-1959) par Albert Camus et Maria Casarès © Editions Gallimard

Idéation et adaptation de Dany Boudreault

Mise en scène Maxime Carbonneau

Production Théâtre du Nouveau Monde
en collaboration avec La Messe Basse

assistance à la mise en scène Stéphanie Capistran-Lalonde
décor Max-Otto Fauteux, éclairages Julie Basse, costumes Marie Chantale Vaillancourt, musique originale Antoine Bédard, mouvement Marilyn Daoust, maquillages Justine Denoncourt-Bélanger

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Je t'écris au milieu d'un bel orage au TNM
oct.
19
à 27 oct.

Je t'écris au milieu d'un bel orage au TNM

  • Théâtre du Nouveau Monde (carte)
  • Google Agenda ICS

Amour extrême

Le 6 juin 1944, les forces alliées débarquent en Normandie et Maria Casarès dans la vie d’Albert Camus. La comédienne en est encore à ses débuts, arrivée d’Espagne huit ans plus tôt avec ses parents fuyant la dictature. Camus, marié et père de deux enfants, impliqué dans la Résistance, est déjà au cœur des lettres françaises, avec la publication deux ans plus tôt de L’étranger et du Mythe de Sisyphe. Il vient d’engager Maria pour créer le rôle de Martha dans Le malentendu. Mais dans leur relation, c’est elle qui, avec son exigence d’une vie indépendante, mène la danse. Leur passion durera quinze ans, traversant les tumultes politiques de l’après-guerre, la frénésie intellectuelle des années chaudes de Saint-Germain-des-Prés, leurs angoisses créatrices et les aléas du quotidien. Puis, le 4 janvier 1960, Camus meurt dans un accident de voiture. Ne reste que la stupeur de la mort. Et 865 lettres d’amour. ● Ces lettres, Dany Boudreault, poète ardent et dramaturge audacieux, s’en est emparé, prenant une phrase ici, un paragraphe là, pour recréer la fulgurance et la hauteur de vue de cet amour d’exception où, par « un certain degré de chaleur mutuelle, les cœurs fondent ensemble dans quelque chose qui n’a plus de nom ». À la mise en scène, l’attentif et novateur Maxime Carbonneau, complice de longue date de Dany Boudreault, fait son entrée au TNM. ● La magnifique Anne Dorval interprète l’électrisante complexité de Maria Casarès alors que l’admirable auteur et comédien Steve Gagnon porte la parole d’Albert Camus.

— Le spectacle-lecture a été créé au Festival international de la littérature (FIL) à Montréal en 2021 sous le regard juste et critique de Macha Limonchik —

Équipe de conception

D'après Correspondance (1944-1959) par Albert Camus et Maria Casarès © Editions Gallimard

Idéation et adaptation de Dany Boudreault

Mise en scène Maxime Carbonneau

Production Théâtre du Nouveau Monde
en collaboration avec La Messe Basse

assistance à la mise en scène Stéphanie Capistran-Lalonde
décor Max-Otto Fauteux, éclairages Julie Basse, costumes Marie Chantale Vaillancourt, musique originale Antoine Bédard, mouvement Marilyn Daoust, maquillages Justine Denoncourt-Bélanger

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Je viendrai moins souvent, à la Maison de la culture Janine-Sutto, (Montréal)
oct.
17
8 h 00 p.m.20 h 00

Je viendrai moins souvent, à la Maison de la culture Janine-Sutto, (Montréal)

  • Maison de la culture janine-sutto (carte)
  • Google Agenda ICS

Synopsis

En 2017, Camille a 22 ans et emménage à Montréal alors que sa grand-mère Pauline, âgée de 92, est placée en CHSLD. Chacune vit en parallèle un déracinement, une absence de repères.

Pendant près de 4 ans, au rythme de leurs retrouvailles quotidiennes les deux femmes apprivoisent ensemble les pertes cognitives de Pauline, l’effritement de ses souvenirs et l’inévitable deuil à venir. Poussée par une intuition, Camille enregistre ses conversations avec sa grand-mère lors de ses visites.

Après le poignant balado Quelqu’une d’immortelle, Camille Paré-Poirier adapte pour la scène ces échanges entre deux femmes si profondément unies, pierre d’assise de dialogues et de questionnements entre générations. La créatrice s’interroge sur la notion de soin et sur les réalités, parfois confrontantes, de la proche-aidance. Grâce à des enregistrements empreints d’affection et de complicité, les mots et la voix de Pauline continuent de vivre. Et un matériau documentaire devient étonnamment un outil de fiction.

Durée: 1h35

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Je viendrai moins souvent, à la Maison de la culture Rosemont (Montréal)
oct.
16
8 h 00 p.m.20 h 00

Je viendrai moins souvent, à la Maison de la culture Rosemont (Montréal)

  • Maison de la culture rosemont (carte)
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Synopsis

En 2017, Camille a 22 ans et emménage à Montréal alors que sa grand-mère Pauline, âgée de 92, est placée en CHSLD. Chacune vit en parallèle un déracinement, une absence de repères.

Pendant près de 4 ans, au rythme de leurs retrouvailles quotidiennes les deux femmes apprivoisent ensemble les pertes cognitives de Pauline, l’effritement de ses souvenirs et l’inévitable deuil à venir. Poussée par une intuition, Camille enregistre ses conversations avec sa grand-mère lors de ses visites.

Après le poignant balado Quelqu’une d’immortelle, Camille Paré-Poirier adapte pour la scène ces échanges entre deux femmes si profondément unies, pierre d’assise de dialogues et de questionnements entre générations. La créatrice s’interroge sur la notion de soin et sur les réalités, parfois confrontantes, de la proche-aidance. Grâce à des enregistrements empreints d’affection et de complicité, les mots et la voix de Pauline continuent de vivre. Et un matériau documentaire devient étonnamment un outil de fiction.

Durée: 1h35

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Je viendrai moins souvent au Périscope (Québec)
oct.
8
à 13 oct.

Je viendrai moins souvent au Périscope (Québec)

  • Théâtre Périscope (carte)
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(5 représentations + 4 options)

Synopsis

En 2017, Camille a 22 ans et emménage à Montréal alors que sa grand-mère Pauline, âgée de 92, est placée en CHSLD. Chacune vit en parallèle un déracinement, une absence de repères.

Pendant près de 4 ans, au rythme de leurs retrouvailles quotidiennes les deux femmes apprivoisent ensemble les pertes cognitives de Pauline, l’effritement de ses souvenirs et l’inévitable deuil à venir. Poussée par une intuition, Camille enregistre ses conversations avec sa grand-mère lors de ses visites.

Après le poignant balado Quelqu’une d’immortelle, Camille Paré-Poirier adapte pour la scène ces échanges entre deux femmes si profondément unies, pierre d’assise de dialogues et de questionnements entre générations. La créatrice s’interroge sur la notion de soin et sur les réalités, parfois confrontantes, de la proche-aidance. Grâce à des enregistrements empreints d’affection et de complicité, les mots et la voix de Pauline continuent de vivre. Et un matériau documentaire devient étonnamment un outil de fiction.

Durée: 1h35

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oct.
6
3 h 00 p.m.15 h 00

Table ronde | Table ronde : Mise en scène et éthique de la création assistée par l’IA

Dans le cadre de littérature québécoise mobile, Maxime Carbonneau est invité à la table ronde Mise en scène et éthique de la création assistée par l’IA en compagnie de Sarah Berthiaume et William Maurer.

Animation: Bertrand Gervais

Avec:
William Maurer (podcast L’Imagination artificielle)
Sarah Berthiaume (Wollstonecraft)
Maxime Carbonneau (iShow, Siri)

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Je t'écris au milieu d'un bel orage
janv.
17
à 13 févr.

Je t'écris au milieu d'un bel orage

  • Théâtre du Nouveau Monde (carte)
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Amour extrême

Le 6 juin 1944, les forces alliées débarquent en Normandie et Maria Casarès dans la vie d’Albert Camus. La comédienne en est encore à ses débuts, arrivée d’Espagne huit ans plus tôt avec ses parents fuyant la dictature. Camus, marié et père de deux enfants, impliqué dans la Résistance, est déjà au cœur des lettres françaises, avec la publication deux ans plus tôt de L’étranger et du Mythe de Sisyphe. Il vient d’engager Maria pour créer le rôle de Martha dans Le malentendu. Mais dans leur relation, c’est elle qui, avec son exigence d’une vie indépendante, mène la danse. Leur passion durera quinze ans, traversant les tumultes politiques de l’après-guerre, la frénésie intellectuelle des années chaudes de Saint-Germain-des-Prés, leurs angoisses créatrices et les aléas du quotidien. Puis, le 4 janvier 1960, Camus meurt dans un accident de voiture. Ne reste que la stupeur de la mort. Et 865 lettres d’amour. ● Ces lettres, Dany Boudreault, poète ardent et dramaturge audacieux, s’en est emparé, prenant une phrase ici, un paragraphe là, pour recréer la fulgurance et la hauteur de vue de cet amour d’exception où, par « un certain degré de chaleur mutuelle, les cœurs fondent ensemble dans quelque chose qui n’a plus de nom ». À la mise en scène, l’attentif et novateur Maxime Carbonneau, complice de longue date de Dany Boudreault, fait son entrée au TNM. ● La magnifique Anne Dorval interprète l’électrisante complexité de Maria Casarès alors que l’admirable auteur et comédien Steve Gagnon porte la parole d’Albert Camus.

— Le spectacle-lecture a été créé au Festival international de la littérature (FIL) à Montréal en 2021 sous le regard juste et critique de Macha Limonchik —

Équipe de conception

D'après Correspondance (1944-1959) par Albert Camus et Maria Casarès © Editions Gallimard

Idéation et adaptation de Dany Boudreault

Mise en scène Maxime Carbonneau

Production Théâtre du Nouveau Monde
en collaboration avec La Messe Basse

assistance à la mise en scène Stéphanie Capistran-Lalonde
décor Max-Otto Fauteux, éclairages Julie Basse, costumes Marie Chantale Vaillancourt, musique originale Antoine Bédard, mouvement Marilyn Daoust, maquillages Justine Denoncourt-Bélanger

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Si jamais vous nous écoutez au Théâtre Denise-Pelletier
nov.
9
à 25 nov.

Si jamais vous nous écoutez au Théâtre Denise-Pelletier

  • Théâtre Denise-Pelletier (carte)
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Résumé

1997. La NASA lance les deux sondes Voyager pour scruter Jupiter, Saturne et autres confins du système solaire. Or, sur le flanc des sondes, l’astrophysicien Carl Sagan place un disque recouvert d’or qui condense les informations essentielles sur l’humanité, le Golden Record, dans l’éventualité où Voyager croiserait des formes de vie intelligente.
2022, sur la scène du Théâtre Denise-Pelletier : cinq passionné·es de musique et fervent·es de science nous convient dans leur espace technologique à une rencontre entre la fiction et le documentaire. Reprenant la réflexion de Sagan et de son équipe, le quintet, dont l’amitié parfois vacille, tente de se positionner sur cette propension qu’ont les humains à s’archiver, à envoyer au-dessus d’eux-mêmes pensées et morceaux d’intimité. Et à espérer qu’un jour, toutes les planètes les entendront.
Dans ce spectacle hybride, musical et fascinant, les interprètes tentent de sortir des nuages et demandent : nous reconnaissons-nous toujours dans ce disque qui représentera l’humanité pour les 5 milliards d’années à venir ?

Maxime Carbonneau et Laurence Dauphinais, respectivement cofondateur et artiste associée de La Messe Basse, sont complices de création depuis une dizaine d’années, d’abord avec le collectif du ishow, puis sur leur spectacle Siri, créé au FTA puis repris à Rio de Janeiro, à Édimbourg et à Dublin. À la mise en scène, Carbonneau a dirigé entre autres La femme la plus dangereuse du Québec à la Salle Fred-Barry et Les murailles, tandis que Dauphinais signe Aalaapi | ᐋᓛᐱ et Cyclorama.
La Messe Basse est un lieu d’incubation et de recherche.

Une première version du spectacle , sous le titre Dans le nuage, fut développée avec le soutien du Fonds national de création du Centre national des Arts (Ottawa) et fut créée au Festival TransAmériques, au Centre du Théâtre d’Aujourd’hui à Montréal, le 7 juin 2021.

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